Respectueux de la nature et efficacité écologique.

Le réchauffement climatique est une préoccupation majeure. Les effets du changement climatique sont évidents presque partout où vous regardez. Chez VitalVert, nous prenons ces questions environnementales et d’autres très au sérieux. 

Selon les données fournies par le ministère de la Transition écologique, les émissions de gaz à effet de serre en France ont légèrement diminué ces dernières années, mais restent encore élevées. 

Les rapports des Nations Unies sur les émissions de gaz à effet de serre en France sont publiés dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Le dernier rapport de l’Organisation des Nations unies sur les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France a été publié en 2021. Il s’agit du “Sixième rapport national sur les inventaires des émissions de gaz à effet de serre” de la France, qui couvre la période de 1990 à 2019.

Selon ce rapport, la France a réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 19 % entre 1990 et 2019. En 2019, les émissions totales de GES de la France étaient de 441 millions de tonnes équivalent CO2 (MtCO2e), ce qui représente une baisse de 1,7 % par rapport à 2018. Cette baisse a été principalement attribuée à la diminution des émissions du secteur de l’énergie, notamment la production d’électricité à partir de sources fossiles.

Cependant, le rapport souligne également que la France doit poursuivre ses efforts pour atteindre son objectif de réduction des émissions de GES de 40 % d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990, conformément à l’Accord de Paris sur le climat. Les émissions actuelles de la France sont encore largement supérieures à cet objectif, et des actions supplémentaires seront nécessaires pour les réduire davantage.

Les secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France sont les transports (31% des émissions totales), le bâtiment (25%) et l’agriculture (18%). Les autres secteurs importants sont l’industrie (14%), la production d’énergie (8%) et les déchets (4%).

L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) définit les combustibles fossiles comme tout combustible que la Terre forme à partir de restes végétaux ou animaux, y compris le pétrole, le schiste bitumineux, le sable bitumineux, le gaz naturel, la tourbe et le charbon. Lorsqu’ils sont brûlés, les combustibles fossiles libèrent du carbone qui, autrement, ne serait pas rejeté dans l’atmosphère.

Le bois n’est pas un combustible fossile. Le bois est de la biomasse et lorsqu’il est brûlé, il ne libère pas plus de dioxyde de carbone que ce qui se produirait naturellement s’il pourrissait dans la forêt. Lorsque le bois est brûlé par un appareil de foyer, le nombre de particules et de gaz libérés dans l’air est bien inférieur à ce qui se produirait lors d’un incendie de forêt. En fait, brûler du bois dans un poêle à haut rendement est neutre en carbone. Cela signifie qu’il n’est pas nécessaire d’acheter des crédits de carbone pour utiliser votre poêle à bois. Ne vous attendez pas non plus à devoir payer des taxes sur le carbone à l’avenir.

En France, les normes d’émission de particules dépendent du type de source d’émission. Voici quelques exemples :

  • Pour les véhicules : les normes d’émission de particules pour les véhicules légers et lourds sont réglementées par la norme européenne Euro. Les véhicules doivent répondre aux exigences de la norme en vigueur lors de leur homologation, qui sont de plus en plus strictes au fil des années. Par exemple, les véhicules légers homologués depuis septembre 2019 doivent respecter la norme Euro 6d-Temp, qui impose des limites plus strictes sur les émissions de particules que les normes précédentes.
  • Pour les installations de combustion : les émissions de particules des installations de combustion sont réglementées par la directive européenne sur les émissions industrielles (IED) et par le Code de l’environnement français. Les limites d’émission de particules dépendent du type d’installation et de la puissance installée. Par exemple, les chaudières d’une puissance inférieure à 1 MW doivent émettre moins de 30 mg/Nm3 de particules, tandis que les chaudières d’une puissance supérieure à 50 MW doivent émettre moins de 5 mg/Nm3 de particules.
  • Pour les poêles et les inserts à bois : les émissions de particules des appareils de chauffage à bois sont réglementées par la norme européenne EN 13240 pour les poêles et par la norme EN 13229 pour les inserts. Ces normes imposent des limites d’émission de particules en grammes par heure pour les différents types d’appareils. Par exemple, la limite d’émission pour les poêles à bûches est de 40 g/h, tandis que la limite pour les poêles à granulés est de 30 g/h.

Ces normes sont régulièrement révisées pour réduire les émissions de particules et améliorer la qualité de l’air. Les autorités compétentes effectuent également des contrôles pour vérifier que les sources d’émission respectent ces normes et imposent des sanctions en cas de non-conformité.

Malheureusement, tous les poêles à bois sur le marché ne sont pas très efficaces.

Alors, comment les appareils chez VitalVert se classent-ils ? Nos poêles à bois sont plus efficaces que ce que l’ADEME exigent !

La responsabilité environnementale est importante pour nous chez nous.

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